Communication homme/cheval
Nous savons tous que
l’homme et le cheval n’ont pas le même langage mais ils peuvent quand même se
comprendre. Ils utilisent un langage qui se compose principalement de geste et
de voix.
Le cheval : un télépathe ?
Il faut savoir que le
cheval est « télépathe ». Il nous scanne en permanence et connaît
toutes nos émotions en direct. Si le cavalier stresse ou a peur le cheval va le
sentir et va se dire :
« Mon cavalier
n’est pas rassuré donc ça veut dire que c’est
peut-être dangereux ». Alors il va tout faire pour éviter l’exercice
ce qui ne va pas vous rassurer donc lui non plus et ça devient un
cercle vicieux. Alors que si vous vous dites tout va bien se passer
j’ai confiance en mon cheval et en moi-même on va y arriver tous
les deux, le cheval va se dire :
peut-être dangereux ». Alors il va tout faire pour éviter l’exercice
ce qui ne va pas vous rassurer donc lui non plus et ça devient un
cercle vicieux. Alors que si vous vous dites tout va bien se passer
j’ai confiance en mon cheval et en moi-même on va y arriver tous
les deux, le cheval va se dire :
moi et puis de toute façon je ne
risque rien puisqu’il est confiant ».
Et il va y aller beaucoup plus facilement.
Comme quoi tout part du
mental du cavalier.
Clever Hans
Clever Hans est la
preuve que le cheval a une grande intelligence.
Il pouvait « calculer » n’importe quelle addition, division ou
multiplication. Il suffisait de lui poser une opération et il
grattait le sol du sabot le nombre de fois pour trouver le résultat.
Par exemple : si un homme lui demande le résultat de 2 fois 2 Hans regardait le visage de l’homme en face de lui et raclait le sol 1 fois. L’humain ne bronchait pas, pour le cheval cela signifiait :
« c’est gelé », 2 fois l’homme reste impassible, comme pour dire :
« c’est toujours froid ». 3 fois, son visage commençait à se détendre : « tu brûles ! », 4 fois… plus aucun doute, il y avait un changement
dans le regard, un sourire ; Hans sentait qu’il avait réussi. Il s’arrêtait alors à 4, c’est-à-dire 2 fois 2.
Il pouvait « calculer » n’importe quelle addition, division ou
multiplication. Il suffisait de lui poser une opération et il
grattait le sol du sabot le nombre de fois pour trouver le résultat.
Par exemple : si un homme lui demande le résultat de 2 fois 2 Hans regardait le visage de l’homme en face de lui et raclait le sol 1 fois. L’humain ne bronchait pas, pour le cheval cela signifiait :
« c’est gelé », 2 fois l’homme reste impassible, comme pour dire :
« c’est toujours froid ». 3 fois, son visage commençait à se détendre : « tu brûles ! », 4 fois… plus aucun doute, il y avait un changement
dans le regard, un sourire ; Hans sentait qu’il avait réussi. Il s’arrêtait alors à 4, c’est-à-dire 2 fois 2.
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